Supporting Neurodivergent Students Part 1: Communication

‘Neurodiverse’ is a term used to describe the diversity of neurotypes (essentially your brain or ‘wiring’) – this includes neurodivergent (ND) and neurotypical (NT) people. Different forms of neurodivergence (e.g., Autism, ADHD, OCD, Dyslexia, Dyscalculia, etc.) may present differently and require different types or levels of support. **No two individuals are completely alike, and one should not assume that people need or want help. When in doubt, it is always best to ask – not assume.

This series is intended to highlight some small changes that everyone can work on implementing that can make a huge difference. It was created with supporting neurodivergent graduate students in mind but is also beneficial for neurotypical graduate students and/or other trainees.

Communication is important for everyone! It can be challenging for NT and ND people alike. This post provides some tips to improve your communication:

  • Be aware of communication differences.
  • Give clear instructions.
  • Keep a record.
  • Create an open environment.

These tips may take a bit of extra time to implement; however, it is nothing compared to how much time would be wasted on miscommunications of tasks. Effective communication will save a lot of time in the long run.

Be Aware of Communication Differences:

  • Not everyone communicates the same way (e.g., some people may be non-verbal, while others may struggle with reading, have poor vision, have auditory processing difficulties, etc.).
  • Differences in communication are not necessarily a reflection of intellect (do not make assumptions).
  • It may be easy to say: “Let me know what accommodations you need”, but sometimes the students may not even know what to ask for. Even if they do, there are a lot of barriers to getting simple accommodations (to be covered in another post).

Tips

  • Be aware and accepting of accommodations (i.e., Augmentative and Alternative Communication (AAC) devices, Closed Captioning / Subtitling, audio recordings, speech-to-text devices, providing slides in advance, etc.)
  • Present information in bi/multi-modal ways when possible (e.g., written and spoken instructions)
  • Allow for hybrid meetings / classes / conferences when possible.
  • Be willing to listen, learn, and adapt – communication is a two-way street!

Give Clear Instructions:

  • Processing/Attention/Memory difficulties: some people have difficulty with breaking down tasks into smaller steps, prioritizing tasks and focusing on the ‘right’ things, or remembering all the steps/details.
  • Unclear wording: some people might take things literally even when a non-literal meaning seems obvious to others.

Tips:

  • Break down a task into steps involved.*
  • Be clear about required deliverables and due dates.*
  • Schedule check-ins (can be regular meetings or reserved for milestones or larger subtasks)
  • Supervisors: Use decisive language when possible (i.e., yes/no, ‘X pages due this Friday’)

*This can be either the supervisor’s or student’s responsibility, but both should confirm.

Keep a Record:

  • There are many reasons why remembering details or objectives set during meetings may be difficult (e.g., influx of information, split attention between listening to others and preparing your own remarks, distracting environments, etc.). For some neurodivergent people, these obstacles can be especially difficult to overcome.

Tips:

  • Give students enough time to pause between discussion points so that they can write notes.
  • At the end of the meeting, summarize main points of discussion and next steps (due dates/assigned duties). This is important to make sure that everyone is aware of and agrees with set duties.*
  • Keep detailed meeting minutes to share with the team or provide a written summary or breakdown of expected tasks in an email shortly after the meeting. Note: audio/video files work too!*
  • Have a note-taking strategy beforehand (e.g., using notebooks designed for meetings, creating a Word template, using accessible technologies like otter.ai, etc.)

*This can be either the supervisor’s or student’s responsibility, but both should confirm.

Create an Open Environment:

  • Open Environment to Question = Good Learning Opportunity for All.
  • It can be hard to ask questions or ask for clarification for many reasons (e.g., stigma surrounding neurodivergence, feeling as though you should already know this, anxiety, imposter syndrome, etc.)
  • Having open discussions about accessibility and neurodiversity in your lab can be beneficial for everyone involved.
    • Lowers stress levels: It takes the onus of initiating difficult conversations off students who are already under a lot of pressure.
    • Sets the tone: It shows that the lab and its members are open to such discussions and questions.
    • We can all improve our communication skills.*

We hope that Part 1 of the Supporting Neurodiverse Grad Students series was helpful! If you have any questions or tips of your own to share, please comment below!


Soutenir les étudiants diplômés neurodivers Partie 1: Communication

“Neurodivers” est un terme utilisé pour désigner la diversité des neurotypes (essentiellement votre cerveau ou votre ‘câblage’) – ceci inclut les personnes neurodivergentes (ND) et neurotypiques (NT). Différentes formes de neurodivergence (par exemple, l’autisme, le TDAH, le TOC, la dyslexie, la dyscalculie, etc.) peuvent se présenter différemment et nécessiter différents types ou niveaux de soutien. **Aucun individu n’est complètement semblable, et il ne faut pas supposer que les gens ont besoin d’aide. En cas de doute, il est toujours préférable de demander – ne pas supposer.

Cette série vise à mettre en évidence quelques petits changements que chacun peut s’efforcer de mettre en œuvre et qui peuvent faire une énorme différence. Elle a été créée en visant le soutien des étudiants diplômés neurodivergents, mais elle est également bénéfique pour les étudiants diplômés neurotypiques et/ou d’autres stagiaires.

La communication est importante pour tout le monde! Ça peut être un défi tant pour les personnes NT que pour les ND. Cette publication propose quelques conseils pour améliorer votre communication:

  • Soyez conscient des différences de communication.
  • Donnez des instructions claires.
  • Prenez des notes.
  • Créez un environnement ouvert.

Ces conseils peuvent prendre un peu plus de temps à implémenter, mais cela n’est rien en comparaison du temps perdu en raison de malentendus concernant les tâches. Une communication efficace sauvera beaucoup de temps à long terme.

Soyez conscient des différences de communication:

  • Tout le monde ne communique pas de la même manière (par exemple, certaines personnes peuvent être non-verbales, tandis que d’autres peuvent avoir des difficultés de lecture, une mauvaise vision, des problèmes auditifs, etc.).
  • Les différences de communication ne sont pas nécessairement un reflet de l’intelligence (ne faites pas de suppositions).
  • Il peut être facile de dire : “Dites-moi quelles adaptations vous avez besoin”, mais parfois les étudiants pourraient ne même pas savoir quoi demander. Même s’ils le savent, il existe de nombreuses barrières pour obtenir des accommodements simples. (*à aborder dans une autre présentation*)

Conseils :

  • Soyez conscient et acceptez les accommodements (par exemple, les dispositifs de Communication Améliorée et Alternative (CAA), les sous-titres, les enregistrements audio, les dispositifs de conversion de la parole en texte, la fourniture des diapositives à l’avance, etc.).
  • Présentez l’information de manière bi/multi-modale lorsque c’est possible (par exemple, instructions écrites et verbales).
  • Autorisez les réunions/cours/conférences hybrides lorsque c’est possible.
  • Soyez disposés à écouter, à apprendre et à vous adapter – la communication est un échange dans les deux sens!

Donnez des instructions claires:

  • Difficultés de traitement/attention/mémoire: certaines personnes ont du mal à diviser les tâches en étapes plus petites, à hiérarchiser les tâches et à se concentrer sur les “bonnes” choses, ou à se souvenir de toutes les étapes/détails.
  • Formulations pas claires: certaines personnes peuvent prendre les choses au pied de la lettre même lorsque leur sens non littéral semble évident pour d’autres.

Conseils :

  • Divisez une tâche en étapes.*
  • Soyez clair sur les livrables requis et les dates d’échéance.*
  • Planifiez des contrôles (peuvent être des réunions régulières ou réservées pour des jalons ou des sous-tâches plus importantes).
  • Superviseurs: Utilisez un langage décisif lorsque c’est possible (c-à-d, oui/non, ‘X pages à rendre ce vendredi’).

*Cela peut être la responsabilité du superviseur ou de l’étudiant, mais les deux devraient confirmer.

Prenez des notes:

  • Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles il peut être difficile de se souvenir des détails ou des objectifs fixés lors des réunions (par exemple, l’afflux d’informations, la répartition de l’attention entre l’écoute des autres et la préparation de ses propres interventions, les environnements perturbateurs, etc.). Pour certaines personnes neurodivergentes, ces obstacles peuvent être particulièrement difficiles à surmonter.

Conseils :

  • Accordez aux étudiants suffisamment de temps pour faire des pauses entre les points de discussion afin qu’ils puissent prendre des notes.
  • À la fin de la réunion, résumez les points principaux de la discussion et les prochaines étapes (dates d’échéance/tâches attribués). Ceci est important pour s’assurer que tout le monde est informé et est d’accord avec les tâches fixées.*
  • Gardez des compte-rendus détaillés de la réunion à partager avec l’équipe ou fournissez un résumé écrit ou une liste des tâches attendues dans un courriel peu de temps après la réunion. Remarque: les fichiers audio/vidéo fonctionnent également!*
  • Ayez une stratégie de prise de notes à l’avance (par exemple, en utilisant des carnets conçus pour les réunions, en créant un modèle Word, en utilisant des technologies accessibles comme otter.ai, etc.)

*Ceci peut être la responsabilité du superviseur ou de l’étudiant, mais les deux devraient confirmer.

Créez un environnement ouvert:

  • Un environnement ouvert aux questions = une bonne occasion d’apprentissage pour tous.
  • Il peut être difficile de poser des questions ou de demander des clarifications pour de nombreuses raisons (par exemple, la stigmatisation entourant la neurodivergence, le sentiment que vous devriez déjà savoir cela, l’anxiété, le syndrome de l’imposteur, etc.).
  • Avoir des discussions ouvertes sur l’accessibilité et la neurodiversité dans votre laboratoire peut être bénéfique pour toutes les personnes impliquées.
    • Réduit les niveaux de stress: cela décharge les étudiants qui sont déjà sous une grande pression de l’obligation d’initier des conversations difficiles.
    • Fixe le ton: cela montre que les membres du laboratoire sont ouverts à de telles discussions et questions.
    • *Nous pouvons tous améliorer nos compétences en communication.*

Nous espérons que la Partie 1 de la série “Soutenir les étudiants diplômés neurodivers” vous a été utile! Si vous avez des questions ou des conseils à partager, veuillez commenter ci-dessous!

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